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31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 14:51

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Le mandat exclusif :

Nouveau  "coup de semonce" ?

 

Il semble aujourd’hui devenu bien difficile de définir un projet de développement autre que celui de sa simple adaptation aux nouvelles contraintes des nouvelles formes marchandes ; que celles-ci nous soit dictées par les nouvelles pressions économiques et sociales ou, politiques, comme nous l’observons ces derniers jours à travers la récente disposition de Frédéric Lefebvre concernant le mandat exclusif.

Peut-être est-ce là le prix à payer pour notre irrépressible goût pour la nouveauté, pour l’immédiat, pour l’information à grande vitesse et les jouets technologiques qui la véhiculent, pour nos rêves de richesse et pour nos volontés commerciales sans cesse plus conquérantes.

La vitesse crée une auto-dévalorisation permanente des attentes et des services. A force de faire que le spectacle prime sur l’action, que l’éphémère prime sur la durée, que le groupement prime sur la diversité, nous nous sommes éloignés du consommateur. C’est dans cette perte des différences que cette nouvelle disposition, qui dépasse de très loin les prérogatives de notre ministre de tutelle, va trouver sans aucun doute son meilleur appui.

Et si, par pure honnêteté intellectuelle, nous en venions à considérer l’émergence ce texte comme la conséquence naturelle d’un "vote sanction" du consommateur à l’encontre du professionnel plutôt que de rester enfermés dans la tour d’ivoire de notre prêt à penser, de nos auto- célébrations et auto-congratulations ?

L’achat de «l’objet immobilier » exige une manipulation massive d’informations qui aurait dû logiquement dégager une valeur ajoutée croissante au service de l’agence immobilière ; Çà n’est pas le cas ! Au lieu de rejoindre l’oasis, le client se nomadise.

D’une façon générale, le client d’aujourd’hui a appris à se former, à s’informer et  à ne plus trop compter sur l’agence ; quant à l’agent immobilier il s’est, peu à peu, exclu lui-même de l’acte d’accompagner pour confier son destin aux mirages de l’informatique.

On peut penser que chacun d’entre nous devra désormais assumer une partie de la responsabilité des inévitables pertes en productivité qu’impliquera cette nouvelle législation.

Dans ses pérégrinations le consommateur a besoin de guides, l’acquéreur a besoin du professionnel pour le rassurer mais les rôles se sont profondément transformés : l’un a appris à apprendre ; l’autre devra apprendre à penser différemment ou à cesser d’exister. L’un et l’autre vont devoir apprendre à s’écouter.

Quoi qu’il en soit, les dés roulent ; rien ni personne ne peut plus faire qu’ils n’aient été jetés. Tout refus d’évolution aggravera la solitude de nos professionnels et creusera le fossé entre consommateurs et institution immobilière.

Peut-être que l’enseignement à retirer de ce "coup de semonce" à notre profession serait de dire : Ne vous tracassez plus de ce que les gens pensent de vous, car ils ne pensent pas à vous ; ils se demandent seulement ce que vous, vous pensez d'eux. Un nouveau paradigme qui devrait désormais piloter nos nouveaux comportements commerciaux.

 

Hédy MECHERY

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 12:00

 

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L’AMEPI : Stratégie de conquête ou neutralité désenchantée ?

 

Quel sera le  choix stratégique de l’AMEPI ?  

 

Sera-ce celui, terrifiant, du "politiquement neutre", cédant la place à  une "cohabitation barbelée" entre puissants, à une stratégie de freinage obéissant à une volonté molle d’universalisation. Ou sera-ce celui de se reconnaître être bien plus qu’une simple « Opération de Vide-grenier » et se reconnaître être pleinement une stratégie gagnante et un réel accélérateur d’opportunités commerciales ?

Tout progrès réel se heurte inévitablement à la tyrannie des idées dominantes. Les résistances au progrès sont inévitables. Si les volontés conservatrices et les stratégies de freinage sont évidentes et parfois nécessaires, elles ne pourront pas, cette fois, survivre aux correctifs réellement très sérieux des nouvelles logiques marchandes et des technologies qui les propulsent.


 

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  « Prenez-moi tout, mais laissez-moi les hommes et je reconstruirai ». disait H. FORD


Dans notre profession, ce sont bien les hommes qui font la différence et qui vont chercher nos clients là où ils se trouvent. Cela demande du courage, de la lucidité et une ténacité de tous les instants. Nos dirigeants, fascinés par le désir de remplacer l’énergie humaine par des machines, hypnotisés par la magie des nouvelles technologies et portés par le rêve inconscient de passer directement du grain à l’œuf sans passer par la poule ont totalement oublié que c'est le « dehors » et lui seul qui nous fait vivre, c’est bien l’activité et les comportements des hommes du « dehors » qui crée la richesse. Il importe de rétablir rapidement cette vérité si nous voulons survivre et de renforcer l’image identitaire et groupale de l’AMEPI si nous voulons contrecarrer les grandes vulnérabilités à venir !


L’AMEPI, c’est« mettre en commun » - Commun, l’essence-même du mot COMMUNIQUER ! Alors comment l'AMEPI pourrait-elle continuer de se passer de communiquer, tant avec ses membres qu’avec son public, sans être en contradiction avec sa philosophie et manquer au nécessaire besoin de soutien attendu par ses membres sans risquer de laisser se développer en son seing discordes et désenchantements ? Sans laisser s’étioler, puis se dégrader les enthousiasmes nés de l’idée de départ ?


Le management visuel d’ORAKLIO vous offre l’opportunité de cimenter les relations entre agences-membres autour de messages ludiques rappelant vos fondamentaux tout en favorisant reconnaissance et appartenance à un même système.  


Hédy MECHERY

                              

 

                                                                         Le management visuel d’ORAKLIO 

  • Communications institutionnelles
  • communications internes.



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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 07:44

L’AMEPI : Pour être vu, soyez visibles !

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LES AFFICHES d’ORAKLIMMO :

 

Si nous pouvons apprécier cette photographie, c’est qu’elle trouve en nous un écho, c’est parce que nous la reconnaissons. Sa posture, ses mimiques, son allure générale sont autant d’informations qui préexistaient à sa parution. L’image peut être considérée comme une métaphore idéologique.

L’image de référence, c’est la toile de fond sur laquelle va s’inscrire l’actualité de votre offre ; Elle trouve en moi un écho, répétée, elle vient conforter l’ensemble des croyances auxquelles vous voulez faire adhérer celui qui regarde. Elle vient les répéter inlassablement.

Les affiches d’ORAKLIMMO, ici sont référentielles et  n’ont d’autre but que de permettre à ceux qui les regardent de s’y associer.

Les affiches d’ORAKLIMMO tablent sur l’identification et on y fait en sorte qu’elles nous soient proches et mobilisent nos sympathies comme nos antipathies. Elles obéissent à des normes qui engagent le lecteur dans sa réalité et agissent comme suggestions des habitudes, des croyances et des comportements qui lui sont liés, comme une reconnaissance culturelle ou idéologique.

Chaque personnage représenté va vous servir de support symbolique, de modèle culturel, de catalyseur où vont se greffer intuitivement les valeurs et les règles morales, culturelles, sociales et idéologiques dictés par l’image et communes à  une catégorie spécifique d’utilisateurs.

Dès le premier regard, certaines de ces images feront naître en vous un préjugé favorable, une certaine familiarité, une ressemblance, une appartenance ou une émotion. Ce sera le fil rouge qui conduira votre cible à votre information commerciale.

Le choix de ces images ne résulte pas uniquement de choix techniques mais d’un désir de vraisemblance, en accord avec les thèmes qu’elles représentent. Les effets de réel sont codés différemment selon le sujet de la photographie. Les personnages apparaissent sous un voile réaliste, car ils posent comme toutes les personnes qui font notre entourage.

Dans l’affichage d’ORAKLIMMO, l’image et le texte apportent chacun leur récit des faits, à égale importance.

Des images qui pourraient produire le « coup de foudre » sont parfois trahies par la pauvreté du langage et réciproquement. Dans ORAKLIMMO, les légendes canalisent les interprétations et guident le lecteur vers une unité d’information. Derrière chaque affiche, se projette une histoire mentale particulière ; une mémoire que nous recréons, stimulée, guidée par la photo et sa légende. Des associations d’images qui échappent à notre conscience réfléchie.

Le recours aux affiches d’ORAKLIMMO, efface dans l’esprit de son utilisateur, la subjectivité du professionnel, ses détournements possibles et ses intentions commerciales suspectes.

Elle exclut le « je » du professionnel au profit d’un énoncé photographique où, seul, l’utilisateur occupe l’image. Une vraie différence de fond.

L’affiche est une forme de communication destinée à subvenir au manque de temps. Le mystère de la consommation nouvelle se trouve aujourd’hui plus que jamais dans la participation du spectateur au spectacle.

L’affiche est un langage. C’est un langage dont le pouvoir d’expression est élevé. En règle générale, il est plus facile et plus rapide de traduire ses idées en images que dans un langage descriptif. Associatif et implicite, chargé émotionnellement, l’affichage d’ORAKLIMMO  propose rapidement, sans efforts, un pilotage automatique vers ce qui compte vraiment pour son utilisateur.

Dans ce monde de concurrence, il nous faut accroître notre différence ; ORAKLIMMO fabrique avec vous des images à travers lesquelles vos clients identifient vos produits, vos services ou vos solutions.


Pour vous qui cultivez votre différence sur le rare, l’exceptionnel, l’unique ;

La meilleure façon de "gagner" des mandats EXCLUSIFS, n’est-ce pas encore d’offrir un service VRAIMENT EXCLUSIF ?

 

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Hédy MECHERY

 

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 06:45


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Attention, si avant même d’avoir lu la première ligne, vous avez décidé que, de toute façon, vous n’accorderiez pas une seconde de votre attention à ce qui suit et que d’abord cette façon impérative d’interpeler les gens vous semble n’être rien de moins qu’une agression. Si vous vous sentez très bien comme ça. Si vous n’avez aucune envie de comparer vos manques et vos atouts cachés à ceux de vos collègues et concurrents et, que dans votre situation, autant vous épargner les sarcasmes et les ricanements de vos camarades de travail – Alors, laissez tomber ce qui suit ; ce n’est pas pour vous !

Grisaille généralisée sur le destin des nations comme sur celui des particuliers. Un immobilier devenu synonyme d’évaluations provisoires. Un état  qui sombre dans un pilotage à courte vue ;  l’agent immobilier tente de faire face - soit, en se transformant en "accroc" des nouvelles technologies : Qui sera le plus actuel, essentiel et nouveau?  - Soit en refusant catégoriquement le nouveau et en optant pour un retour à ce qui est ancien, figé et conservateur : L’art de changer dans la continuité !

Certaines grandes organisations immobilières continuent d’afficher une insularité hautaine et charrient avec elles comme un relent de vie monarchique, alors que leur noblesse agonise dans des rituels maniaques en dépit de leur volonté d’afficher une allure « bon enfant ». Il serait pourtant urgent que nous quittions la tour d’ivoire de notre "prêt-à-penser" culturel ; malheureusement, à l’inventivité, nous préférons la "thérapie par le sourire", sur nos "murs virtuels" nous nous faisons un devoir de banalités, de marchands de plaisir et nous y applaudissons une pédagogie du "minuscule" entre gens qui se flattent entre eux, signe de peur et de grande solitude.

Cette crise devrait être pourtant une incitation à être moins comme l’on croit devoir être et plus ce que l’on est véritablement. Quand plusieurs milliers de personnes partagent une même situation problématique, on appelle cela une crise. Quand l’insatisfaction résiste aux solutions logiques qu’on tente de lui appliquer. Quand on a du mal à concevoir d’autres solutions. Quand même les bonnes solutions sont difficiles à vendre. Quand on ne peut pas aller beaucoup plus loin. Faut-il encore conseiller de s’adapter jusqu’au bout au système ?

Tant que la conscience ne lâche pas le "poste de pilotage", elle ne peut pas elle-même s’augmenter et rien de véritablement innovant ne peut apparaître.

Dans un monde professionnel dominé par le politiquement correct, il serait bon qu’un jour la pensée unique n’interdise plus que l’on défende des solutions nouvelles. Inévitablement la solution nouvelle dérange, elle est iconoclaste. Son introduction dans l’existant en modifie tous les équilibres, toutes les certitudes rassurantes, comme une goutte d’encre dans un verre d’eau.  La faculté humaine de produire des solutions neuves s’appelle la créativité.

Cependant, défendre des solutions nouvelles, c’est résister à la méchanceté, aux grimaces officielles de ses juges, à la lourdeur de l’esprit de sérieux, à la fuite stupide devant le vide de l’inconnu, à la vanité des jeux et des rôles sociaux, à l’inculte "branché" qui fait passer l’inculture pour le goût du concret, à  la fashion attitude. 

Lorsque l’on est nombreux à se tromper, on a tellement l’impression d’avoir raison. Cela tient chaud d’être rassemblés pour se demander comment on va bien pouvoir revenir à la situation antérieure. Je ne sais pas comment sera l’agence immobilière de demain ; ce que je sais par contre c’est qu’elle ne ressemblera pas à celle d’aujourd’hui.

Comment rester productif et confiant dans l’univers impitoyable du contemporain ? Comment sortir du déjà vu, déjà fait, déjà lu ? Cette crise est un beau défi à notre inventivité ! Or, Il n’y a pas d’action sans risques et, dans bien des cas, le plus risqué est souvent de ne pas agir. Nos peurs de mal faire sont en réalité des peurs de mal-paraître. La peur du regard de l’autre fait rester les hommes dans leurs limites, dans une personnalité d’apparat. Essayer de comprendre et de changer est, pour beaucoup d’entre nous, synonyme de " suicide social". Pourtant dans ces journées noires pour l’immobilier, seuls de nouveaux échanges et un service maximum vers plus de coopération pourront nous sauver. Nous devons faire place à la diversité et à la nouveauté, accueillir le changement ; faire de la création une ambition, de l’invention une exigence, du nouveau une nécessité. Tout refus d’évolution aggravera notre isolement et creusera un fossé entre les consommateurs et notre institution.

Plutôt que de s’irriter, s’inquiéter de ce que la crise interrompt nos projets, pourquoi ne pas se demander de quel projet elle cherche à nous dissuader, de quelle destination elle cherche à nous protéger ? Toute contrainte est une opportunité ; tous les défis sont porteurs de réponses innovantes et profitables dont nous pourrions être bientôt les  Cobénéficiaires ! Un mot si peu employé.

 

Oraklio  propose méthodes et outils innovants pour évolutions rapides en marge des systèmes formels.

 


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Oraklio  propose méthodes et outils innovants pour évolutions rapides en marge des systèmes formels.

 

- ANIMATIONS - FORMATIONS

 

REM mode d'emploi

 

- ANIMATIONS - FORMATIONS


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Oraklio  propose méthodes et outils innovants pour évolutions rapides en marge des systèmes formels.

 

- AFFICHAGES PERSONNALISES

 

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Oraklio  propose méthodes et outils innovants pour évolutions rapides en marge des systèmes formels.


- LA SELECTION INTUITIVE

 

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- LA SELECTION INTUITIVE

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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 15:43

L’AFFICHE, LA NOUVELLE ERGONOMIE DE VOS SUCCÈS

 

                                                          

                                                                        L'affiche est la plus rapide des informations

       L’image est une forme de communication destinée à subvenir au manque de temps.

 

 

 

  

 

 

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L’AFFICHE, LA NOUVELLE ERGONOMIE DE VOS SUCCÈS

Le chemin de croix de la recherche immobilière, une frustration à exploiter – Une opportunité concurrentielle à saisir.

 

Encore aujourd’hui, bien que unanimement convaincu de l’inanité de son information, l’affichage des offres immobilières (vitrines, presse, sites) continue de s’appuyer sur des habitudes collectives et sur un attachement puissant à des traditions rédactionnelles telles qu’un "style" propre à la corporation qui détériore la lisibilité de l’offre et dont le principal manque est le défaut d’argumentation.

La multiplication de l’offre, à travers la croissance exponentielle des sites immobiliers, complexifie la recherche et il devient très difficile pour le consommateur de s’y retrouver sans informations détaillées.

Cette complexité, largement majorée par les nouvelles contraintes de temps, une volonté d'autonomisation et la multiplication des infidélités, justifie la mise en place par le professionnel d’un niveau "d’aide intermédiaire" assurant, au-delà de la simple et habituelle transmission des particularités techniques, juridiques et économiques des propriétés dont il a la charge, la transmission d’indications soulignant leur "commodité" particulière, leurs "usages et destinations privilégiés", leur capacité vraisemblable à remplir la ou les fonctions attendues par le consommateur.

Un niveau d’aide intermédiaire dont l’objectif serait de "Thématiser" l’offre afin de prendre le client par la main et de le mener au résultat recherché en le libérant du besoin d’explorer une offre souvent peu renseignée.

Un seul obstacle à la mise en place d’un tel système : Le professionnel lui-même, qui hésite à entrer dans une logique qu’il juge de prime abord contraignante et par sa crainte à accepter un rôle plus exigeant qui lui réclame d’entrer dans un accompagnement plus engagé.

(Ref : oraklio.over-blog.com : « Les pathologies de l’agent immobilier »)

 

 L’Affiche est un accélérateur de décision

Mais avant que de nous attaquer au langage stéréotypé de nos rédactions coutumières et aux graves défaillances de rédaction dont chacun d’entre nous a fait l’expérience plus souvent qu’à son tour, je vous propose ici d’utiliser l’affiche comme étant le moyen le plus rapide et plus sûr d’atteindre l’imaginaire de vos clients.

Le pouvoir d’identification prime sur le pouvoir d’information et l’image demeure, depuis la nuit des temps, l'outil le plus rapide et le plus sûr du rapprochement d'acteurs ayant les mêmes façons d'envisager leur vie ou leur achat.

L’affiche, c’est l’analogie et l’analogie est le plus rapide et le plus sûr moyen par lequel nous pouvons atteindre l’esprit des autres.

Les affiches d’ORAKLIO tablent donc sur l’identification. On y fait en sorte qu’elles soient proches de nos visiteurs et qu’elles mobilisent leurs sympathies particulières. Les personnages qui les illustrent apparaissent sous un voile réaliste - ils posent comme toutes les personnes de notre entourage.

Leur choix ne résulte pas uniquement de choix techniques ou simplement esthétiques mais d’un désir de vraisemblance en accord avec les thèmes qu’ils représentent.

Ce qui nous intéresse, c’est de faire réagir les consommateurs en leur faisant partager des émotions.

Ce à quoi chaque groupe affinitaire va adhérer sera surligné par l’image d’une aura éthique, esthétique et émotionnelle qui renforcera de façon divertissante les ressemblances et favorisera le rapport de sympathie, car c’est seulement une fois que l’on a installé un rapport de sympathie que l’on est en mesure d’influencer son client.

 

L’Affiche est toujours un accélérateur de décision.

Laissons donc parler l’image ; elle au moins ne fait pas de fautes d’orthographe !!!

 

 

L’AFFICHE, LA NOUVELLE ERGONOMIE DE VOS SUCCÈS

Le pouvoir d’identification prime le pouvoir d’information 

 

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LES DÉRIVES ET SOUMISSIONS TECHNOLOGIQUES D’UNE PROFESSION QUI S’OUBLIE.

 

Le caractère "non-embarquable" des modes d’emploi :

Jusqu’à quand abandonnerons-nous nos prérogatives identitaires et professionnelles à la lame de fond du monde « marchand » ?

 

La mise à disponibilité des "aides écrites" ne peut pas, selon nos designers, être "embarquée" dans les biens concernés mais à l’extrême limite accessible et imprimable dans des rangements "cachés" à proximité du bien concerné. La raison principale de cette situation est principalement d’ordre esthétique. Les designers de nos logiciels favoris n’acceptent pas que leurs sites soient recouverts d’informations "écrites" ou dotées de rangements protubérants destinés à recevoir un mode d’emploi. L’aide éclairée du professionnel est devenue la « partie honteuse » du produit qu’il convient de mettre à l’écart. Affligeant, non? Et terriblement inquiétant pour ceux d’entre nous qui s’interrogent sur la pérennité de notre profession qui pourrait dépendre de l’adjonction ou non d’un nouveau « bouton-poussoir ». (Réf : Les universités de l’immobilier – Marseille le 28/29 sept 2011). La manoeuvre étant "jugée" par ces mêmes designers comme trop compliquée pour notre client et  insuffisamment récurrente pour que cette « aide à la décision » soit envisagée. Le temps d’accès au mode d’emploi est alors présenté comme un véritable casse-tête pour les utilisateurs avec tous les risques de pertes que cela entraîne …Sommes-nous devenus les marionnettes d'un monde qui nous dépasse pour que nous leur abandonnions une fois encore la partie.

S’il est un domaine particulier où le fait que l’information soit séparée de l’objet pose un problème potentiellement insurmontable, c’est bien celui de l’immobilier.

 

N’en déplaise à nos partenaires "éclairés", le mode d’emploi d’une solution immobilière se doit d’exister et doit s’inscrire à travers trois logiques où s’opposent logique d’esthétique, logique d’efficacité et logique d’autonomie.

Il est clair que dans le conflit entre la logique d’utilisation et la logique commerciale, c’est cette dernière qui pousse le négociateur à mettre de côté l’information préalable à l’achat.

Par ailleurs, si les modes d’emploi ou aides écrites devraient être selon nous "embarqués", c'est-à-dire affichés ou placés sur le bien, les diktats du designer imposent par soucis d’esthétique de rendre invisible l’aide écrite. Le dernier conflit de logique sur la disponibilité des aides est celui qui oppose la logique d’autonomie de l’utilisateur à la logique de « l’aide forcée ». La logique de « l’aide forcée » traite l’utilisateur comme un automate sans réflexion, autrement dit un idiot dont il faut guider la progression à chaque pas à travers des algorithmes brassant une bouillie de chiffres ne prenant en compte que les aspects les plus anodins et les plus mineurs de la demande.

Aujourd’hui, grâce à la complaisance ignorante de nombreux professionnels de l’immobilier  qui ont abandonné leur âme au monde informatique et marchand, notre client devenu autonome et moins ignorant, ne comprend plus pourquoi il n’a pas devant lui la totalité des outils dont il pourrait avoir besoin et dont il nous pressent être le dernier obstacle à son autonomie. Il faut dire que nous contribuons chaque jour à lui ouvrir l’appétit grâce à nos  « accords » avec des partenaires internet à qui nous servons benoîtement de bans d’essais puis de passerelles privilégiées vers des développements commerciaux qui banalisent notre service et mettent au rancard notre profession. A quand les boutons d’alerte « Attention risques de somnolence - Attention à la dispense de réflexion – Attention aux renoncements automatiques» ?

Les volets techniques, juridiques sont mieux traités que la partie « aide » proprement dite. Si vous, professionnels, vous renoncez à la technicité rédactionnelle qui donne la coloration d’usage au bien, les aides elles-mêmes seront bientôt recherchées en ligne , à travers de grands forum de discussions spontanés ou organisés, basés sur le principe des solidarités qui permettront d’apporter les réponses que vous refusez aujourd’hui à vos clients et vous mettront à la retraite anticipée.

 

Les incantations humanistes et une étonnante absence de protestations ont conclu ces universités de l’immobilier. De nombreux professionnels estiment sans doute illusoire d’espérer faire partager à leurs clients des mécanismes d’information plus complexes. Ils pensent que leur public n’attend et n’est prêt à recevoir que de la description servie comme une recette de cuisine cependant, sans l’aide écrite, sans l’affichage, la quantité astronomique d’informations mal ou insuffisamment documentées sur l’internet sera bientôt inexploitable. Comment notre client irait-il plus facilement vers sa solution si nous n’en avons pas affiché les différences et fait naître la similarité entre elles et ce qu’il en attend, si nous ne lui avons pas préparé le chemin ? Or la présentation de notre offre tient plus du modèle du vide-grenier que d'un Virgin mega store. On y trouve une orientation nette vers la description au détriment de l’explication.

N’est-ce pas là précisément ce qui constitue pour notre profession notre meilleur angle d’attaque et notre meilleur avantage concurrentiel ?

Le service « avant - la vente » ne serait-il pas devenu l’occasion rêvée de marquer un point décisif dans notre concurrence avec le Particulier et l’occasion de réaffirmer nos prérogatives professionnelles ?

Cessons de nous abandonner aux seuls mirages technologiques, s’ils sont incontournables, ils n’ont pas à eux seuls le moyen de nous sauver ; le pouvoir des machines n’est que le savoir des hommes qui les programme !  Nous ne pouvons pas confier à l’ordinateur une tâche qui demande de l’intuition.

 

Le consommateur égaré dans l’enfer de l’information ordinaire se dirige à grands pas vers l’information pertinente et l’explication personnalisée qu’il va bientôt trouver à  travers les nouvelles communautés d’internautes et solidarités locales qui ne manqueront pas de se constituer prêts à coopérer et à partager leurs avis sur la toile et qui vous éloigneront un peu plus encore de votre ancien monopole.

Internet demeure davantage une gigantesque bibliothèque qu’un cerveau. Dans cette grande bibliothèque qu’est l’offre immobilière, l’agent immobilier se doit d’être le cerveau capable de construire pour ses clients les meilleures synthèses et jouer à plein son rôle de "conseiller d’utilisation" le plus susceptible de les aider à comparer puis à choisir en mettant l’accent sur les destinations particulières des biens et en les organisant autour de thématiques . (réf : La sélection thématique d’ORAKLIO)

 

Nous constatons aujourd’hui, de façon éparse et timide, des signes de prise en compte de la mauvaise qualité de l’information immobilière, malheureusement ces cas restent minoritaires et les facteurs humains, sociaux et économiques conduisant à la mauvaise qualité de cette information ne semblent pas prêts de disparaître sans une réelle prise de conscience du danger qui menace notre profession et sans une réelle volonté managériale de changement.

 

Hédy MECHERY

 

 

 

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 07:09

L’essence de la stratégie est le choix d’accomplir ses activités

d’une manière différente de celle de ses concurrents

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Le client d’aujourd’hui est un homme pressé et courtisé qu’il faut toucher d’un mot, d’une image.

 

Ce qu'il y a de paradoxal avec l’explosion des moyens de communication, c'est qu'ils ne nous laissent plus le temps de communiquer avec nous-mêmes. Il est cependant temps de le faire.

Tous nos systèmes ont implosé avec l’explosion de la communication et pendant que la mauvaise humeur économique se répand, le nouveau consommateur lui,  poursuit sa guerre d’indépendance contre le professionnel. Le « tout m’est dû, parce que je le vaux bien » est devenu l’illusion collective sur laquelle vit notre époque.

Les nouvelles règles du jeu de l’immobilier se choisissent  désormais "à la carte" et remplacent peu à peu l’obligation de menu, imposée jusqu’à lors par le professionnel. 

L’achat cherche à se faire hors normes et hors institutions.

Le client d’aujourd’hui est un homme pressé et courtisé qu’il faut toucher d’un mot, d’une image. Il y a peu d’espoir de le faire patienter.

Qui  peut aujourd’hui consacrer plus de quelques minutes à l’exploration d’une offre immobilière sans avoir la tentation de zapper vers d’autres sites ou d’autres vitrines possiblement plus attractifs ?

La règle du jeu pour le professionnel est donc de savoir "se faire aimer" et que ce choix ne soit pas seulement celui de la facilité mais qu’il devienne durable et pour cela, un seul moyen : la publicité (pudiquement baptisée : communication). On peut aimer ou ne pas aimer la publicité ; on ne peut la réfuter.

 

Nous n’avons d’intérêt que pour ce qui nous facilite la vie.

Un agent immobilier aujourd’hui, en quoi nous est-il utile?

 

Être perçu comme "utile", c’est  être en mesure d’offrir à son client quelque chose qu’il ne peut pas faire lui-même ou avec beaucoup de difficultés, de risques d’insuccès et de déceptions – quelque chose qui ait pour lui une valeur manifeste dont l’indiscutable utilité en  légitimera l’attrait et…le prix.

Dans ce cadre de pensée exigeant, il doit rester entendu que tout ce qui imite ou se rapproche un tant soit peu de quelque chose qui existe déjà n’offre aucun intérêt.

Or, aujourd’hui, nous n’avons d’intérêt que pour ce qui nous facilite la vie.

Alors, comment peut-on encore vendre, « pêle-mêle » dans le même sac, des solutions aussi variées que celles qui composent ordinairement un stock immobilier?

Comment notre client irait-il plus facilement vers sa solution si nous n’en avons pas affiché les différences et fait naître la similarité entre elles et ce qu’il en attend, si nous ne lui avons pas préparé le chemin ?

N’est-ce pas là précisément ce qui constitue notre meilleur angle d’attaque et notre meilleur avantage concurrentiel ?

Autrefois, l’auditeur devait s’escrimer à trouver la longueur d’onde de sa station, désormais c’est à la station de trouver la longueur d’onde de son auditoire.

Notre destin d’agents immobiliers réside dans la recherche des satisfactions et dans  l’avancée permanente de notre métier. Or, le premier service que l’agent immobilier se doit d’apporter à son client ne serait-il pas de lui épargner l’inévitable parcours du combattant qu’est la recherche d’un bien ?

 

Le chemin de croix de la recherche immobilière, une frustration à exploiter – Une opportunité concurrentielle

 

L’offre immobilière, c’est une myriade de points éclatés sur nos sites et nos vitrines où le problème du consommateur est de se placer au milieu et de s’y déplacer, et celui du professionnel est de se positionner au milieu, de les organiser, de les classer et de les présenter attractivement et intelligemment à son public.

Partout ailleurs la sélectivité s’est déjà organisée (les annonces classées n’ont jamais été aussi nombreuses) et les outils et méthodes de mise en correspondance du consommateur vers les solutions « qui lui ressemblent », prenant particulièrement en compte leurs satisfactions sous-jacentes, tels que le style de vie, la façon de voir les choses, ou la manière de juger se développent.

Le service « avant - la vente » ne serait-il pas devenu l’occasion rêvée de marquer un point décisif dans notre concurrence avec le Particulier et l’occasion de réaffirmer nos prérogatives professionnelles ?

Cessons de nous abandonner aux seuls mirages technologiques, s’ils sont incontournables, ils n’ont pas à eux seuls le moyen de nous sauver ; le pouvoir des machines n’est que le savoir des hommes qui les programme !  Nous ne pouvons pas confier à l’ordinateur une tâche qui demande de l’intuition.

Quant hommes et aux femmes qui composent nos équipes et dont l’enthousiasme et la fidélité sont notre plus grande richesse, ballotés par la crise, ils sont las des vieux modèles qui s’essoufflent à reconquérir le terrain perdu.  Ils cherchent un guide et avec lui un projet qui canalise leurs énergies dispersées. C’est un plan d’espérance qu’ils attendent, pas un plan de redressement. Ils peuvent consentir à des sacrifices sur l’autel du futur, certainement pas celui du présent et surtout les jeunes. Ils veulent que vous leur montriez l’horizon. Or, le seul concept porteur d’avenir est celui de la modernité. Il nous faut espérer en l’avenir et d’abord en nous.

 

On ne reçoit de l’exclusivité que ce qu’on y apporte.

« Montre-moi ta vitrine, je te dirai qui tu es »

 

L’affichage de l’offre immobilière est la toute première raison  de l’infidélité du consommateur - Un affichage qui n’inspire pas le désir d’entrer est un affichage inutile !

Il n’est pas nécessaire d’aller bien loin pour être modernes ; Commençons par changer le langage stéréotypé de nos rédactions coutumières – Il y a overdose de qualificatifs convenus !

L’affichage ordinaire, à vouloir sauvegarder ses grands principes, affiche juste son grand ennui. Son offre, réduite à l’état de catalogue, ennuie. L’affichage vitrine ordinaire se suicide à petits coups d’images et de messages de  mauvaise qualité et de fautes d’orthographe. Toute communication est un spectacle. Faire périr d’ennui son public finira par tuer aussi ses auteurs.

Nettoyons nos paresses – il nous faut réapprendre à écrire notre affichage-vitrine : Chaque ligne y est gravée, donc grave ; elles témoignent de notre engagement ou de notre désengagement, selon le cas, à l’égard de nos clients. Excluons paresses, bavardages. Écrire, c’est penser, c’est être attentif. Chaque mot écrit de nos affichages doit être pensé. Les légendes surlignent l’image, canalisent les interprétations et guident le lecteur vers une unité d’information.

Nous devons bien cela à nos clients pour mériter leurs exclusivités, non ?

L’indétermination de nos contenus d’avenir ; nos incertitudes conduisent à la désaffection de nos client, or, communiquer, c’est partager son espoir.

Il nous faut voir, à travers cette évolution vers des rédactions plus respectueuses de la confiance que nous réclamons à notre public, un progrès sur nous-mêmes.

 C'EST UNE CHOSE TROP IMPORTANTE PPImage7-copie-1.jpg

"Affichez" votre différence.

Sans la pub, votre agence reste une agence et ne devient pas une marque.

Sans image, une marque est un être sans voix.

 

Dans une société où chacun se veut unique et où le mécanisme d'auto-promotion est de plus en plus prisé, notre client a pris l'habitude d'être "personnellement interpellé" sur ses choix, ses goûts, ses orientations du moment. Il veut désormais être au centre de nos préoccupations.

Nous avons oublié de regarder le client en face, plus on lui servait du gigantisme et de la désincarnation, plus il avait faim de convivialité et d’humanité. 

Notre communication immobilière ne peut plus être austère et le divertissement constitue une incitation plus que suffisante à la participation du client au jeu de l’image. Le succès appartient aux tentateurs et non plus aux raisonneurs.

 

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Parlez-moi de moi, il n’y a que ça qui m’intéresse.

 

Considérer l’autre comme un simple consommateur, c’est nier son identité et sa véritable image. Nous sommes tous instantanément reconnaissants lorsque quelqu’un s’adresse à nous de manière émotionnellement intelligente.

Cette observation nous amène à faire preuve de plus de maîtrise dans notre « relation -vitrine » avec nos clients et à recourir à un modèle de communication, ni passif ni agressif, mais à une communication assertive qui cherche à inverser cette tendance qui fait que nous nous sentions « utilisés ». 

Chacun de nous croit que sa propre "histoire" est plus intéressante que celle des autres ; la vraie originalité de  l’affichage publicitaire consiste à la rendre plus intéressante encore car, si  l’on peut tenter de  convaincre son client avec  ses propres convictions, on ne le persuadera que par les siennes.

 

Toute offre accommodante est une offre accommodée.

Un client heureux, c’est un client libre, c’est un client libéré du besoin de comprendre.

 

Les clients apprécient qu’on leur débroussaille un minimum le chemin. Ils" balayent" nos vitrines de manière expéditive à la recherche de "micro contenus" capables d’attirer leur attention, d’éléments "saillants" qui accrochent l’œil, qui mette le contenu en relief. Aucun affichage n’est efficace s’il n’est pas capable de donner un sens à l’achat, de le justifier. Un affichage ordinaire n’apporte que l’ennui ; une affiche doit faire passer message et empathie avec elle.

Dans toute activité de communication, ce qui la rend efficace, c’est la forme et non le contenu. 

 

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L’image alerte, la légende persuade.

La communication d’influence

 

L’affiche est une induction. Une affiche n’est pas faite pour donner des réponses ; elle est faite pour les inspirer. Un affichage est fait pour influencer car c’est le choix de l’influence qui en constitue la base.  L’influence est un jeu auquel personne ne résiste car l’appréciation de ce qui nous convient n’est facile pour personne.

 

L’image est la plus rapide des informations

L’image est une forme de communication destinée à subvenir au manque de temps.

 

Qu’est-ce qui nous décide à aller vers une agence plutôt qu’une autre ?

C’est la surprise, l’étonnement qui nous oblige à évoluer vers une agence plutôt qu’une autre. On ne convainc plus aujourd’hui que par l’humour, l’émotion ou l’étonnement.

Le client a besoin qu’on l’éblouisse et non pas qu’on l’éclaire. La règle du rêve comme remède anticrise reste de mise.

 

L’affiche est une induction et l’image est un langage.

C’est un langage dont le pouvoir d’expression est élevé. L’image catalyseur d’émotions.

 Si l’affiche trouve en votre public un écho, elle viendra conforter l’ensemble des croyances auxquelles vous voulez l’amener à adhérer.

Dès le premier regard, certaines de ces images feront naître en vous un préjugé favorable, une certaine familiarité, une ressemblance, une appartenance ou une émotion. Ce sera le fil rouge qui vous conduira  votre client  à son coup de cœur.

 

Le pouvoir d’identification prime le pouvoir d’information

L’image est l'outil du rapprochement d'acteurs ayant les mêmes façons d'envisager leur action.

La photographie, c’est l’analogie et l’analogie est le plus rapide et le plus sûr moyen par lequel nous pouvons atteindre l’esprit des autres.

Les affiches d’ORAKLIO tablent sur l’identification. On y fait en sorte qu’elles soient proches de nos visiteurs et qu’elles mobilisent leurs sympathies particulières. Les personnages qui les illustrent apparaissent sous un voile réaliste ;  ils posent comme toutes les personnes de notre entourage.

Leur choix ne résulte pas uniquement de choix techniques mais d’un désir de vraisemblance en accord avec les thèmes qu’ils représentent.

Ce qui nous intéresse, c’est de faire réagir les consommateurs en leur faisant partager des émotions.

Ce à quoi chaque groupe affinitaire va adhérer sera surligné par l’image d’une aura éthique, esthétique et émotionnelle qui renforcera de façon divertissante les ressemblances et favorisera le rapport de sympathie, car c’est seulement, une fois que l’on a installé un rapport de sympathie que l’on est en mesure d’influencer son client.

L’Affiche est un accélérateur de décision. Laissons parler l’image, elle au moins ne fait pas de fautes d’orthographe.

 

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Afficher sa différence – L’image na nouvelle ergonomie du succès.

Ne pas savoir s’afficher, pour un patron d’agence est une faute professionnelle.

 

Comment prendre les honneurs du premier rôle sans prendre le risque de s’afficher ?

Nous vivons un siècle de la banalisation où tout s’uniformise – Si chacun ne vend que ce qu’il est, il vend l’autre et de ce fait, non seulement il dilue et banalise son service aux yeux du consommateur, mais plus largement il banalise le service immobilier dans son ensemble.

Alors que tous les consommateurs reconnaissent l’influence de la publicité ; Chez l’agent immobilier, l’incapacité à se mettre en image relève de la pathologie. Une pudeur mal placée car on ne fait pas de la pub pour être reconnu dans la rue, mais pour être demandé. En communication, les hommes ont toujours plus d’attrait que les produits.

Demander à un consommateur de vous choisir n’est pas plus scabreux que de demander à un électeur de voter pour vous. D’autant que, même ceux qui se disent insensibles à la pub marchent aux slogans comme tout le monde ; On teste ça quand vous voulez !

 

La déconnexion insensible des institutions immobilières d’avec les évolutions subies ou assumées par leur base populaire ces dernières années, fait qu’aujourd’hui les échanges  professionnels/particuliers se sont peu à peu vidés de sens.

Pendant que les agences pariaient leurs résultats à venir sur les innovations de la technologie,  les attentes des consommateurs se sont transformées.

Aujourd’hui, les agences immobilières leur paraissent trop anonymes et trop éloignées de leurs préoccupations du moment. Ils ont du mal à s'identifier à elles.

 

Un affichage qui n’inspire pas le désir d’entrer est un affichage inutile !

Avec la S.I - Le choc des images, plus encore que le poids des mots

 

Redonner de la valeur au service immobilier à travers la personnalité de son client  afin qu’il s’y reconnaisse à nouveau, convaincre notre client de notre bonne compréhension des enjeux profonds de sa démarche, apporter de la "valeur ajoutée" à nos vitrines à travers la personnalisation de notre communication,  rechercher une convivialité et une proximité perdue , faciliter la recherche en commun d’une solution, sont des stratégies beaucoup plus chargés d’implication et  inductrices de lien social que nos messages d’autocélébration habituels.

Aussi le métier de communicant  immobilier n’est-il plus d’égrener d’anonymes mérites que tout le monde connaît, mais d’inventer l’individualité.

L’image vous offre une approche originale, immédiate et unique de faire passer vos nouveaux messages.

 

Là, où existe une frustration, il existe une opportunité commerciale.

En immobilier, quand une marque se démarque…ça se remarque !

 

Paradoxalement, nous évoluons dans un monde professionnel qui continue d’ignorer la valeur du message photographique. Il semble pourtant aujourd’hui possible d’imaginer une voie médiane de communication qui fasse que le "savoir-faire" et le "savoir dire et montrer" soient autre chose que des actions séparées - Comment?

En composant des vitrines plus attrayantes et plus divertissantes, porteuses d’idéologies qui tablent sur l’identification, où l’on fait en sorte qu’elles soient proches des préoccupations particulières de nos clients et mobilisent leurs sympathies – des vitrines qui engagent le visiteur dans sa réalité et qui agissent comme suggestions des habitudes, des croyances et des comportements qui lui sont liés, comme une reconnaissance culturelle ou idéologique.

Aujourd’hui, celui qui a de bons produits mais qui ne sait pas les mettre en valeur est peu à peu exclu des débats et disqualifié.

Les agences immobilières doivent réorganiser leur offre autour de cette nouvelle approche ; C'est l'un des paris des toutes prochaines années qu'il ne faudra surtout pas rater.

 

Les sites internet

La vocation d’une organisation immobilière est d’influencer son marché et son temps plutôt que de s’abandonner à un jeu de statistiques dont le triste effet est de justifier son immobilisme par la morosité du moment. L’influence aujourd’hui où est-elle la plus forte? Sur internet ou dans nos vitrines ?  

Internet, outil d’information permanente est devenu un outil d’autoformation et la maîtrise des nouvelles technologies de communication de masse nécessite pour l’agent immobilier une volonté de s’informer et d’en apprendre les règles - Internet n'a pas de raison d'être plus tolérant que les autres médias.

 

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La Sélection intuitive : Une méthode, des outils au service du professionnel

Avec la S.I: L’achat se décline en termes de « projet de vie »

 

Conduire l’accompagnement immobilier avec intelligence intuitive

La sélection Intuitive est un système de navigation et un accélérateur de réussite.

Finie la navigation grand large, il faudra désormais barrer au plus près, à la recherche d’auditoires de plus en plus limités, parce que de plus en plus personnalisés.

La vente comme le marketing enseignent la nécessité de faire précéder l’action et la communication d’une étude typologique ;  La « Sélection intuitive » est donc une table d’orientation.

On n’achète pas un logement uniquement pour sa valeur d’usage mais pour sa valeur imaginaire ajoutée – Avec la S.I, vos clients bénéficient, en prime, d’un « plus » imaginaire.

 

LA SÉLECTION INTUITIVE d’ORAKLIO Comment ça marche ?

Avec la S.I, Nous ne livrons pas nos biens sans leur « mode d’emploi »

 

ORAKLIO identifie l’ensemble des comportements et des croyances communes qui permet à un ensemble social de se reconnaître dans « des personnages - bases »

Le principe de la "sélection intuitive" trouve sa place quand les méthodes de résolution dites "exactes" peuvent présenter un temps de résolution trop long et dans les recherches qui nécessitent l'exploration d'un grand nombre (Un nombre est un concept caractérisant une unité, une collection d'unités ou une fraction d'unité.) de cas ;  c’est une sorte de "moteur de recherche" qui globalise les éléments fonctionnels de la recherche et les aspirations imaginaires, émotionnelles et subjectives. Elle permet d’en réduire la complexité moyenneen examinant d'abord les cas qui ont le plus de chances de donner la réponse  attendue.  Elle permet à son utilisateur d’accéder, rapidement et sans stress, à l’examen des solutions qui ont le plus de chances de donner la réponse la plus pertinente dès son  premier contact avec le consommateur. 

 

Choisir la S.I,  c’est achetez un « mode de vie » et l’usage du bien qui le consacre.

 

La "sélection intuitive" d’ORAKLIO est totalement innovante, elle utilise l’image comme raccourci pour accéder aux grands enjeux liés à la recherche. Elle permet de "catégoriser" les clients grâce à des variables prenant particulièrement en compte leurs satisfactions sous-jacentes, tels que le « style de vie », la « façon de voir les choses », ou la « manière de juger ». Si l’on identifie correctement ces types de clients il est beaucoup plus facile de ne pas se tromper dans l’élaboration du processus de satisfaction.

L’image y est utilisée comme fil conducteur intuitif. Elle agit comme suggestion des habitudes, des croyances et des comportements qui lui sont liés.

La sélection intuitive trouve sa place dans un souci de différenciation et de valeur ajoutée - Pour le consommateur, via  l’individualisme de sa démarche – Pour le professionnel, via la segmentation de sa réponse.

 

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Les « personnages » d’ORAKLIO reflètent des STYLES de VIE associés.

 

Afin de faciliter et d’accélérer l’exploration de l’abondance de l’offre immobilière, La SI  a tracé le "portrait-robot" de 15 de nos clients les plus courants.

Nous avons observé, recensé, analysé,  presque un par un nos clients  afin de nous connecter avec ces population rassemblées pour un temps par des motivations identiques, afin de définir pour chacun d’eux une stratégie d’approche différente.

A vous maintenant de choisir vos cibles, d’ajuster le tir de vos messages, de concevoir votre communication en conséquence. La S.I, c’est se donner plus de chances de toucher vite et juste. La SI, c’est choisir  et communiquer dans le « spectacle préféré » de chacun.

 

LE MARCHÉ DE LA FRANCHISE :

Mettre la Sélection intuitive « en mains-libres » au service du particulier.

La S.I, la fin de la « recherche complexe », l’avènement de la « recherche réflexe »

 

« Je n’arrive plus à suivre. Je m’essouffle » !

L’agence-conseil n’est plus de taille ; Seul un groupe communicant résistera au choc du futur. La crise provoque une concurrence qui nous force à l’innovation et où les marchés les plus dynamiques sont ceux où règne l’innovation. Les lois de la concurrence changent à une vitesse folle ; désormais le fort ne battra plus le faible, c’est le rapide qui battra le lent. Il faut apprivoiser la technologie la plus avancée et la mettre à la portée de l’utilisateur individuel.

Nous proposons donc la création d’une table d’auto-diagnostic de la recherche dont le résultat, reformulé par le négociateur, fera l’objet d’une sélection objective, adaptée et personnalisée, des choix proposés.

À l’intention de ceux  qui auraient peur des étiquettes et des épingles – il ne s’agit pas d’épingler votre client mais de le laisser vagabonder afin d’affuter ses décisions et de ne rater aucun rendez-vous jusqu’à lors inenvisagé

La S.I, c’est un grand miroir communautaire où  chacun s’individualise et se retrouve. La S.I, c’est aussi l’image en laquelle chacun s’incarne mais aussi se multiplie et peut envisager ainsi d’autres choix.

Avec la S.I, on ne vous oblige ni à y croire ni à la suivre pourtant, en contournant les barrages de la raison, elle nous raisonne, nous parle de notre quotidien et laisse, à qui veut "s’écouter", la perspective de faire des choix qui lui ressemblent.

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Sans la pub, votre agence reste une agence et ne devient pas une marque.

 

La sélection intuitive est d’abord un business ; La création n’exclut pas la gestion. Son objectif est de rassembler des agences partenaires autour de la S.I. L’étude économique est à ses débuts et cherche les alliances  – Proposer un abonnement – Joindre des promos associées, tout est possible. (La pub ne dérange jamais lorsqu’elle sait s’y prendre).

 

Pour accéder au système, un seul "laissez-passer" exigé : L’Esprit d’innovation. Terrorisée par ces nouvelles sollicitations, la majorité de notre profession s’enferme dans son conservatisme et les mutations s’enlisent et notre profession va bientôt payer le prix de son immobilisme.

 

Et si la crise était une chance ?

Saviez-vous que le cactus avait une fleur ?

 

 La crise est un exutoire facile pour les dirigeants en mal de projets, les patrons en mal d’idées, les collaborateurs en mal de volonté. La crise, quelle aubaine pour expliquer tous les échecs, excuser toutes les paresses. Nous n’avons pas une crise économique mais une bonne crise de foi en nous. Il nous faut espérer en l’avenir et d’abord en nous. Certes, il n’est pas facile d’accepter de changer mais c’est muter ou mourir.

Nous devons innover afin de tenir tête à cette déprime qui nous pollue, marée noire de nos idées noires. Elle paralyse nos espoirs et légitime nos immobilismes. Certes nous ne manquons pas d’idées nouvelles mais elles sombrent souvent dans la superficialité.

Ce dont nous avons le plus besoin, c’est de courage, de rires et de rêves.

 

La sélection Intuitive est également un jeu pédagogique. Elle concerne les équipes en quête de cohésion et de projet commun, les agents immobiliers en évolution professionnelle et en quête de nouveaux challenges et de performance collective.

Elle est le miroir de vos inspirations. Elle vous permet d’intégrer une vision plus large de vos compétences acquises et d’incorporer de meilleures pratiques axées sur le gain de temps. Elle est l’outil  qui vous permettra d’anticiper le changement en replaçant l’intuition au cœur de l’action immobilière.

La sélection Intuitive affronte la sinistrose, les découragements passagers, les désengagements.

Elle vous aide à franchir les obstacles du doute, du complexe d’infériorité et vous fournit les bons antidotes. Elle accompagne vos efforts. Elle éveille de nouvelles idées et favorise les décisions à prendre. C’est une stratégie et un moteur économique puissants.

 

L’espérance n’est pas d’inventer un monde parfait,

mais de perpétuellement le changer ou s’y adapter.

 

 

 

 

 

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 12:42

Le REMUE MENINGES

Agitateur d’influences

REM présentation

 

 

 REM MODE 2

1.     l’image au service du management

 

Nous sommes bombardés d’informations que nous sommes sensés digérer plus rapidement que nous ne le pouvons. Comment faire passer un maximum d’informations en un minimum de temps. Comment les faire assimiler rapidement ?  

Les professionnels de l’immobilier étant, comme tout le monde, sommés de s’aligner sur le "rentable", le nouveau management doit lui aussi s’organiser autour d’une logique de l’économie de moyens et de l’efficacité donc, à partir d’aujourd’hui, finies les discussions académiques !

 

Dites-leur avec des images, le résultat est immédiat

Depuis l’âge néolithique, un seul jeu n’a connu ni arrêts ni reculs: l’image. Cela peut-il tenir aux émotions qu’elle procure et à l’intérêt informatif qu’elle présente ?

En règle générale, il est plus facile et plus rapide de traduire ses idées en images que dans un langage descriptif. L’utilisation de l’image offre une approche originale et unique. L’image est le résumé d’un long récit, c'est un langage dont le pouvoir d’expression est élevé.

À la différence du mental réfléchi, celui que nous utilisons habituellement, séquentiel, rationnel, qui exige des efforts conscients, l’image offre un pilotage intuitif qui travaille « en arrière-plan ». Associatif et implicite, chargé émotionnellement, elle propose rapidement, sans efforts, un pilotage automatique vers ce qui compte vraiment pour l’information de son destinataire. L’image favorise une lecture rapide et globale de l’information

Matérialiser, en un lieu de travail, des images qui permettent de se reconnecter à soi-même et à l’action collective favorise chez vos collaborateurs une auto-identité positive

  

2.     l’image au service de la formation

La formation "obligatoire" décourage très souvent la volonté personnelle d’apprendre. Nous apprécions la valeur d’une information non, en fonction de la valeur que celui qui la dispense y attache, mais en fonction de celle qu’elle présente pour nous, précisément parce que nous ne sommes pas identiques. Proposez à un négociateur des informations qu’il ne comprend pas ; elles le déroutent, l’inquiètent, augmentent ses doutes, le forcent à réfléchir et vous le ramènent à l’agence, conscient de son infériorité alors qu’il était venu confiant ne sachant pas encore qu’il ne savait pas qu’il ne savait pas. Une formation n’a aucun intérêt si vous ne pouvez pas, si vous ne savez pas ou si vous ne voulez pas la mettre en pratique. Il est alors souvent plus facile de nier les choses que de se renseigner à leur sujet.

 

Un bon dessin vaut mieux qu’un long discours

Bousculer les habitudes c’est encore le meilleur moyen de faire évoluer les choses  - Interpeler, Interroger, c’est enseigner ; L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir

Les seules connaissances qui puissent influencer les comportements d’un individu sont celles qu’il découvre lui-même et qu’il s’approprie. La vérité apprise d’autrui est de peu d’importance, seule est efficace la vérité que nous découvrons à partir de nous-mêmes, de notre propre expérience. L’apprentissage de  connaissances nouvelles ne saurait ignorer le négociateur dans sa propre expérience. La méthode ORAKLIO travaille sur l’expérience. Le recours à l’image efface de l’esprit du négociateur, les détournements possibles et les intentions managériales suspectes.

 

 Il faut faire ce qui est difficile comme une chose facile

La plus grande difficulté de l’enseignement c’est de transformer les idées en expériences. Il faut parfois se contenter de montrer et se garder d’expliquer. La fonction de cette formation par l’image est d’exprimer en raccourcis ce que tout le monde peut voir, de s’emparer d’une parole plurielle pour la faire partager. Cette méthode consiste à prendre en compte vos préoccupations managériales, trouver ce qu’il y a à en dire et de le dire avec la plus extrême légèreté.

Plus puissante sera l’information générale, plus grande sera la capacité du négociateur à traiter des problèmes spécifiques.

Le divertissement est plus efficace que l’école parce qu’il fait appel à l’émotion et non à l’intelligence

Nous avons toujours perçu l’image comme un divertissement et le fait de goûter à la « ressemblance » comme un plaisir.

 

LE MANAGEMENT PAR L’IMAGE :

À partir d’aujourd’hui, finies les discussions académiques !

Dites-le lui avec des images, le résultat est immédiat

 

Les professionnels de l’immobilier étant comme tout le monde sommés de s’aligner sur la "rentabilité", le nouveau management doit lui aussi s’organiser autour d’une logique de l’économie de moyens et de l’efficacité. Par ailleurs, mes récentes observations montrent clairement que la formation obligatoire semble de plus en plus décourager la volonté personnelle d’apprendre.

Alors, comment faire passer un maximum d’informations en un minimum de temps. Comment les faire assimiler rapidement et économiquement par nos collaborateurs ?

 

Culture et management, une simple question d’images :

Dans cette nouvelle économie où les lois de la concurrence changent à une vitesse folle, désormais le fort ne battra plus le faible, c’est le rapide qui battra le lent.

Dites ce que vous avez à dire avec des images, le résultat est immédiat. L’image est un divertissement et tout divertissement est plus efficace que l’école parce qu’il fait appel à l’émotion et non à l’intelligence. L’image est une forme de communication destinée à pallier très efficacement au manque de temps. L’affichage interne des affiches « remue-méninges » instaure entre l’agence et son le collaborateur un contact étroit où la sensation de simultanéité donne à l’information un aspect de fraîcheur, de toute dernière, d’événement.

 

L’utilisation de l’image offre une approche originale et unique.

Et si nous utilisions l’image pour réveiller des informations laissées en veille et susciter des associations libres permettant de retrouver des chemins perdus mais toujours exploitables ?

Paradoxalement, nous évoluons dans une société de l’image qui continue d’ignorer la valeur du message photographique.

Pourtant, depuis l’âge néolithique, un seul jeu n’a connu ni arrêts ni reculs : "l’image". Cela peut-il tenir aux émotions qu’elle procure et à l’intérêt informatif qu’elle présente ?

En règle générale, il est plus facile et plus rapide de traduire ses idées en images que dans un langage descriptif.

L’image est un langage dont le pouvoir d’expression est élevé. L’image est le résumé d’un long récit.

À la différence du mental réfléchi, celui que nous utilisons habituellement, séquentiel, rationnel qui exige des efforts conscients, l’image offre un pilotage intuitif qui travaille  en arrière-plan. Associative et implicite, chargée émotionnellement, elle propose rapidement, sans efforts, un pilotage automatique vers ce qui compte vraiment pour l’information de son destinataire. L’image favorise une lecture rapide et globale de l’information. Tout divertissement est plus efficace que l’école parce qu’il fait appel à l’émotion et non à l’intelligence.

Dans oraklio, les légendes complètent le message photographique, canalisent les interprétations et guident le lecteur vers une unité d’information. Derrière chaque affiche, se projette une histoire mentale particulière ; une mémoire que nous recréons, stimulée, guidée par la photo. Des associations d’images qui échappent à notre conscience réfléchie.

 

Un bon dessin vaut mieux qu’un long discours – L’image, c’est un outil à raconter.

Bousculer les habitudes, c’est encore le meilleur moyen de faire évoluer les choses  - Interpeler, Interroger, c’est enseigner ; L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir

Les seules connaissances qui puissent influencer les comportements d’un individu sont celles qu’il découvre lui-même et qu’il s’approprie. La vérité apprise d’autrui est de peu d’importance, seule est efficace la vérité que nous découvrons à partir de nous-mêmes, de notre propre expérience. L’apprentissage de connaissances nouvelles ne saurait ignorer le négociateur dans sa propre expérience. La méthode oraklio travaille sur l’expérience.

 

 Il faut faire ce qui est difficile comme une chose facile

La plus grande difficulté de l’enseignement, c’est de transformer les idées en expériences. Il faut parfois se contenter de montrer et se garder d’expliquer. Les influences qu’on n’arrive pas à discerner sont les plus puissantes.

La fonction de cette formation par l’image est d’exprimer en raccourcis ce que tout le monde peut voir et de s’emparer d’une parole plurielle pour la faire partager.

 

Cette méthode consiste à prendre en compte vos préoccupations managériales, trouver ce qu’il y a à en dire et de le dire avec la plus extrême légèreté.

Ce qui y est privilégié,  c’est de faire réagir les participants en leur faisant partager des émotions.

Aujourd’hui, la clé du pouvoir managérial réside dans l’influence et non plus dans l’autorité .Un manager qui essaie d’enseigner sans inspirer le désir d’apprendre perd son temps.

Plus puissante sera l’information générale, plus grande sera la capacité du négociateur à traiter des problèmes spécifiques.

Depuis l’enfance, nous avons toujours perçu l’image comme un divertissement, voire une récompense et le fait de goûter à la ressemblance comme un plaisir ; ce qui n’est pas le cas de la lecture et du discours que nous entourons toujours d’une certaine gravité – sûrement due à notre dressage éducatif.

Par ailleurs, le recours aux photographies d’ORAKLIO efface dans l’esprit de son utilisateur, la subjectivité du manager, ses détournements possibles et ses intentions commerciales suspectes. Elle exclut le « je » du manager au profit d’un énoncé photographique où, seul, l’utilisateur occupe l’image. (Une vraie différence de fond).

Le doute aime bien  l’humour pour prendre conscience de lui-même

A travers cet outil novateur, l’accès à la culture d’entreprise passe par le divertissement et se consomme sur un mode esthétique.

En outre, il concourt à matérialiser en un lieu de travail des images qui permettent de se reconnecter à soi-même et à l’action collective et qui favorisent chez vos collaborateurs une auto-identité positive qui facilite en douceur le passage d’une culture de la compétition à une culture du partage et de la coopération et favorise l’aspect cohésif, ciment primordial de toutes solidarités.

 

Fondons la formation sur le désir et l’avenir et non plus sur la mémoire.

 

Les  « Remue-méninges »

 

Un jeu amusant, rapide et facile

Un "JEU" sérieux pour jouer en équipe

Pour "ARTICULER" harmonieusement les rêves et les aspirations distinctes de votre groupe

 

L’objectif des « remue-méninges »  consiste à aider votre collaborateur à exprimer ses problèmes personnels, à en saisir la portée émotive, à l’aider à les résoudre sans nécessairement proposer de solutions, ni même donner son avis, ni même décharger la personne de sa responsabilité. Avec les « remue-méninges », utilisées selon les règles de l’art, le consultant se prend en charge et se sent finalement capable et heureux de le faire.

En matière de relations interpersonnelles, ce sont les émotions qui font obstacles 

Ce contact avec une image imprévue provoque une version fraîche, neuve, invitante. Ici on suspend les vieilles habitudes mentales pour faire éclore des solutions inédites.

 

Le « remue-méninge et son rôle :

Définition : Techniquement, les « remue-méninges » consistent à offrir un stimulus (une image visuelle par exemple) et inviter le sujet à lui attribuer un sens personnel

Ces choix font donc intervenir la personnalité et en deviennent les témoins puisque c’est par elle qu’agit le principe organisateur.

 

« Une IMAGE parle plus que mille mots »

Les « remue-méninges » d’ ORAKLIO  jouent leur rôle de stimulateur psychique à l’égard des problèmes pour lesquels on les consulte. Les négociateurs sont invités à déchiffrer l’image offerte, selon le sens particulier qu’elle prend pour chacun d’eux, puis invités à lui attribuer un sens personnel.

Ainsi procède ce jeu en offrant un MOTIF VISUEL où greffer  SON EXPÉRIENCE PARTICULIÈRE

Chaque affichette « remue-méninge » est, en miniature, un modèle situationnel en face duquel le consultant doit s’engager. C’est sa « Vision des choses ». Tout ce qui est perçu, l’est à la manière de celui qui perçoit.  Tout ce que le consultant émet lui appartient.

Contempler un « remue-méninge » de ORAKLIO,  c’est susciter des associations libres, retrouver des expériences perdues, souvent à l’origine de nos comportements du moment.

Elles proposent ensuite des directives large, laissant libre cours à l’initiative de chaque participant.

 

Les « remue-méninges » d’ORAKLIO constituent une coupure avec les façons habituelles de poser une étiquette sur le problème.

C’est une technique de créativité où l’on a recours à l’analogie pour détourner l’attention et suspendre les vieilles habitudes mentales.  Ce sont des images offrant un motif visuel où greffer son expérience particulière

Le « remue-méninges » se présente comme un raccourci pour accéder à  son expérience.

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 11:29

 

L’AMEPI, des professionnels qui n’hésitent pas à monter en première ligne

 

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POLITIQUE ET STRATÉGIE :

 

L’essence de toute stratégie performante consiste à accomplir ses activités d’une manière différente de celle de ses concurrents. Une spécialisation est de ce fait toujours profitable.

Dans ce nouveau monde économique, la difficulté a changé de visage ; Aujourd’hui, ce n’est plus le "manque" qui pose problème, c’est la gestion de l’abondance ; d’une politique de la demande nous sommes passés à une politique de l’offre.

 La stratégie choisie par les AMEPI s’appuie sur une démarche de persuasion particulièrement efficace depuis l’aube des temps : La rareté. Elles organisent, mutualisent, contrôlent et mettent en valeur leur offre immobilière autour de cette rareté, capitalisant sur elle, curiosité, envie, orgueil en jouant de sa pénurie relative.

Cette stratégie ambitieuse consiste à choisir de "faire rentrer" une faible quantité de biens à "haute valeur ajoutée" et à fort contenu en intelligence et en savoir-faire ajoutés, contre de grandes quantité de biens moins valorisés, à fort contenu en travail peu qualifié.

La fenêtre de tir est étroite mais prometteuse pour qui l’exploitera le premier.

L’élément - clé de la stratégie retenue par les AMEPI s’inscrit dans une politique et un outil à forte différenciation commerciale, exclusivement centrés sur le mandat exclusif.

 

le meilleur 

Acheter, c’est avant tout se démarquer des autres. Afficher une offre exclusive, c'est-à-dire que l’on ne retrouve nulle part ailleurs, est certainement un atout et probablement une nécessité sur un marché où la concurrence est vive et l’offre souvent peu documentée et peu qualifiée.

Le désir est un ressort majeur de notre activité et l’exclusivité opère une excitation particulière sur l’imaginaire de la clientèle, augurant naturellement du succès stratégique et opérationnel des AMEPI.

Pour "muscler" la compétitivité de nos agences, il n’y a pas d’autres voies à suivre que la spécialisation dans des productions innovantes et à haute valeur ajoutée. Ce qui compte dans un marché, c’est de capter le maximum de valeur ajoutée (Pub, communication) en maîtrisant la conception (spécialisation, avantages concurrentiels répondant à la demande), le marketing (site, réunions, expos), la distribution.

 

Or, on sait le « pour... quoi  c’est fait » de l’exclusivité, mais on sait moins le  "comment on  fait avec" l’exclusivité, or si le présent appartient à ceux qui se demandent « pour quoi », l’avenir et la pérennité de l’action entreprise par les AMEPI appartiennent à ceux qui acceptent de se demander « comment » ?

Il est aujourd’hui notoire que la menace principale qui pèse sur toute organisation réside dans sa difficulté à "justifier" de manière forte et pérenne sa politique.

L’attention à porter à la culture d’entreprise est de ce fait au moins toute autant importante que l’outil.

Faire trop espérer, sans donner du sens à l’action, c’est préparer des déceptions qui deviendront à terme très coûteuses.

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L’OUTIL :

L’outil informatique consiste en l’utilisation parfaite d’un moyen imparfait

L’accès à l’exclusivité çà ne s’ouvre pas comme un robinet ! Il faut  bien sûr un outil spécifique mais aussi un état d’esprit adéquat. L’ordinateur ne peut que restituer sous une forme plus ou moins élaborée ce que le négociateur y a introduit. Tout le reste, reste à faire. Le grand risque de l’informatique c’est quand le moyen devient plus important que la fin. Attention aux mirages technologiques; l’innovation n’est pas uniquement technique, elle est commerciale, financière, managériale et organisationnelle or, l’outil informatique traduit souvent, chez le décideur, la volonté inconsciente de supprimer les intermédiaires et de chercher comment passer directement du grain à l’œuf sans passer par la poule.

Tout le monde se focalise aujourd'hui sur Internet ; bien sûr le Web a son rôle à jouer, mais les entreprises qui misent tout sur Internet misent sur l'outil avant l'attitude.

Aucun ordinateur n’a encore trouvé le moyen d’écouter avec empathie, aucun ordinateur n’a encore trouvé le moyen de rassurer et d’encourager ; aucun ordinateur n’a encore trouvé le moyen d’applaudir ; aucun ordinateur n’a encore trouvé le moyen de faire vivre un projet. Attention aux tentations de remplacer l’énergie humaine par des machines. Un travail de préparation à la réalisation doit peser davantage sur les motivations des utilisateurs que sur leur aptitude à faire fonctionner l’outil.

 

 

LES HOMMES :

Vers une meilleure coopération

préjugé 

Les ressorts du dynamisme des AMEPI s’expriment à la fois par l’initiative et par l’accueil constant de nouveaux partenaires. Or, aucune organisation n’est durable si elle n’est pas capable de donner un sens à l’effort et à le justifier de manière pérenne.  La menace qui pèse sur toute organisation réside dans son incapacité à justifier de manière forte et répétée sa politique.

L’admirable certitude du patron d’agence est de pouvoir se convaincre qu’en avançant lui-même il fait automatiquement avancer l’équipe. Pour convaincre, il faut être soi-même convaincu mais ça n’est pas suffisant et la meilleure façon d’amener quelqu’un à partager ses convictions ça n’est pas toujours de les proclamer. On ne convainc pas un groupe en allant contre ses habitudes; vous avez besoin d’une exhortation plus puissante qu’une exposition rhétorique: Vous avez besoin de la force d’une "mise en scène".

Si les hommes "manquent", si l’investissement dans le capital humain est défaillant, si la confiance recule, alors l’organisation ne se développe plus et régresse car ce sont bien les hommes qui font la différence et les conduites défaitistes peuvent vite devenir la vraie cause de la défaite.

Refuser plus de conscience coûte cher en énergie comme en euros ; La question est donc de savoir si les dirigeants ont bien pris conscience qu’un bon collaborateur est un investissement à haute valeur ajoutée les obligeant à tout faire pour le motiver et le former comme à mettre en place un environnement de travail.

 

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Il faut mettre « l’homme » au centre du développement économique du groupe : un homme qui a confiance en lui-même, qui a confiance en son projet, qui sait susciter la confiance d’une équipe.

Il faut faciliter la contagion des initiatives en supprimant tous les obstacles administratifs et réglementaires qui brident le développement. Travailler plus et retrouver le plaisirs des liens et le sens des projets

 

faire fortune 

Souci d’image :

Moi, négociateur immobilier, est-ce que je me reconnais dans l’image qu’on me propose ?

Nous apprécions la valeur d’un projet, non pas en fonction de la valeur que lui y attache mais en fonction de celle qu’elle représente pour nous et de notre capacité à le faire vivre. Même un excellent projet n’a aucun intérêt si vous ne pouvez pas, si vous ne savez pas, ou si vous ne voulez pas le mettre en pratique parce qu’idéologiquement, économiquement, vous ne vous y reconnaissez pas ou vous pensez qu’on ne vous y reconnaît pas.

La plus grande difficulté que peuvent rencontrer les AMEPI n’est pas leur capacité à produire mais leur réticence à partager et l’on ne se débarrasse pas de ses habitudes en les balançant par la fenêtre, mais en les faisant descendre par l’escalier, marche après marche, en contournant les mécanismes inconscients de rejets, en levant les a-priori, interdits, barrières culturelles et mentales par des chemins de traverse évitant d’avoir à les traiter de front.

Les préjugés ont la vie dure et il n’est pas facile de passer d’une culture de la compétition à une culture de la coopération.

Si les qualités individuelles requises par la croissance et la compétitivité, dans un contexte de changements rapides, ne sont pas nécessairement plus élevées en terme de savoir, elles deviennent certainement plus exigeantes du point de vue des attitudes et des comportements, la capacité d’apprendre à apprendre, comportement ouvert au travail en équipe, esprit de créativité et d’initiative, souci de qualité dans l’application des savoirs et des savoir-faire doit être au centre des préoccupations managériales.

La meilleure des sécurités c’est la compétence

 

 

L’EXCLUSIVITÉ

Un engagement pas sans conséquences :

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Nous aspirons tous à provoquer le désir chez nos clients mais nous le redoutons.

L’exclusivité, c’est surfer sur les espoirs, c’est promettre le succès et donc risquer les déceptions ; or les déceptions, si ça ne tue pas, ça use l’optimisme et la confiance et ça encourage les comportements défaitistes.

Le mandat exclusif est la promesse d’un succès, après, il faut tenir parole !

Une illusion déçue peut être vécue comme un échec personnel. Plus l’espérance est forte, plus la déception peut être violente. Faire trop espérer, c’est parfois s’exposer et préparer des déceptions et des mises en cause désagréables. Il convient donc d’examiner avec prudence ce que l’on promet car la promesse est une dette souvent difficile à porter. A l’opposé, un mandat ordinaire, ça n’attend rien, ça n’espère rien, ça évite toute déception tant pour le mandant que pour son mandataire.

Le frein majeur à l’exclusivité, c’est le sentiment d’imposture vécu par le négociateur : Ce sentiment, non avoué mais très courant, explique que les négociateurs renoncent d’entrée de jeu, à entretenir une relation d’exclusivité avec le client par crainte de décevoir, de ne pas être à la hauteur, par peur d’un engagement affectif qui exige plus que de la simple technicité, parce qu’ils hésitent à accepter la responsabilité de cette rencontre particulière qui les place dans une situation ambiguë où ils ne sont pas assurés de disposer du savoir spécialisé lié à l’exploitation d’un mandat exclusif – Pour toutes ces raisons, le négociateur a tendance à se réfugier dans le rôle étroit du mandat ordinaire.

Pour faire illusion aux autres, il faut être capable de se faire illusion à soi-même ; c’est un privilège qu’on n’acquiert pas sans travail de préparation.

Le négociateur a besoin d'aide et d’encouragements pour dépasser sa peur d'un échec jugé possible.

 

COHÉSION :

Donner du "sens" à l'action choisie

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Sans solidarité, performances ni honorables ni durables.

 

En attendant l’embellie de la reprise, voici venir des journées plus difficiles pour l’immobilier doublées d’un déficit d’image que seuls de nouveaux échanges et un service maximum vers plus de coopération pourront sauver.

La plus grande difficulté n’est pas notre capacité à  produire mais notre réticence à partager et pourtant nous ne valons que pour autant que nous sommes liés à un groupe.

Dans une société où l’individu n’est pas reconnu ce qui compte avant tout, c’est le clan.

Le pouvoir d’identification à un groupe prime l’information et lui seul fera tomber les processus défensifs et enhardir les plus résignés et faire naître en eux un nouvel appétit pour l’avenir. On observe que la multiplicité de telle image ou tel slogan favorise immanquablement l’émergence d’un fort sentiment collectif ou d'un même lien social ; c’est ainsi que l’on recherche la compagnie de ceux qui sentent ou pensent comme nous, ce qui constitue le présupposé principal de la communication interne d’oraklimmo qui se veut être le fil rouge parcourant la multiplicité des groupes composant tout collectifs d’agences.

 

Les choses vont si vite. Est-ce que nos habitudes pourront suivre ?

Comment passer d’une culture de la compétition à une culture de la coopération ?

"Vaincre n’est pas convaincre" ; Nous ne ferons rien de notablement différent tant que le désir ne sera pas en jeu. Sans solidarité, pas de performances durables. Un travail de préparation à la réalisation de tout projet doit peser davantage sur les motivations que sur  les aptitudes.

Une organisation unie n’est pas une organisation sans différences, mais une organisation sans frontières intérieures, il importe donc de lui donner un langage commun afin d’y faciliter et d’y encadrer les échanges. Les affiches agitatrices d’influences d’oraklimmo remplissent cette fonction. Essayez-les!

 

La fierté, condition sine qua none de survie d'une collectivité.

"Les étiquettes divisent mais les valeurs rassemblent".

Nous apprécions la valeur du projet que quelqu’un nous propose, non en fonction de la valeur qu’il y attache lui-même, mais en fonction de celle qu’il représente pour nous. Un projet n’a aucun intérêt si vous ne voulez pas, si vous ne savez pas, ou si vous ne pouvez pas le mettre en pratique.

 

Est –ce que je me reconnais dans ce projet qu’on me propose?

Valoriser les acteurs dans le processus choisi de différenciation commerciale est le préalable à toute participation durable.

 regarde ton présent

 

Idéologiquement : mes valeurs, mes manières de penser, mes aspirations, mes croyances, convictions, mon éthique, mon esthétique sont elles respectées ?

 

Dans mon statut, ma position sociale, mon rôle, ma mission ou ma position dans la hiérarchie et son évolution sont-elles menacées ou favorisées ?

 

Economiquement : le partage au lieu de la compétition, les préjugés et les dérives, les règles.  Les arbitrages et leur application sont-ils justes ?

 

Développement personnel : renforcement de mon sentiment d’appartenance et de référence, mon acceptation de m’inscrire dans une volonté de partage et de soutien professionnel mutuel – Est-ce que je conserve ma volonté de souveraineté sur mon existence et une parfaite autonomisation ?

 

Solidairement : ma capacité à intégrer « l’être ensemble », ma capacité à intégrer une famille élargie, à faire des naître des sympathies, de l’entraide, de la convivialité à respecter et faire respecter les règles, ma capacité à intégrer, à participer et à faire vivre un projet commun ?

Est-ce que j’accepte de demeurer en accord avec le groupe et d’adopter les rites (visites collectives, réunions) qui contribuent à l’ensemble de se reconnaître dans l’aspect « cohésif » du partage des valeurs.

 

Le savoir :

Compétence et appétence vont de pair.

Le savoir partagé est le ciment primordial de toute solidarité. Quel sera le niveau de spécialisation indispensable à la maintenance du projet ?

Attention aux mirages technologiques. L’outil informatique continue de demeurer l’alliance d’un système inexact et de données humaines faillibles.

L’innovation ne peut pas être uniquement technique, elle est commerciale, financière et organisationnelle. Croissance et développement ne vont pas sans un esprit d’entreprise, ce qu’il ne faut pas considérer comme un acquis. L’esprit d’entreprise est cousin d’esprit de famille.

 

Est-ce que j’y serai reconnu durablement ?

L’image narcissique de moi, la façon dont je me donne à voir est-elle valorisée ?

L’image qu’ont les autres de moi ?

 

Le pouvoir d’identification prime le pouvoir d’information 

Créer une osmose entre expression de vos valeurs personnelles et collectives, c'est la garantie de l'osmose entre vous et vos équipes.

 

 

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Croissance et développement ne vont pas sans un esprit d’entreprise, ce qu’il ne faut pas considérer comme un acquis, or la réussite de chacun n’est pas fondée sur les qualités de chacun mais sur ses ambitions et l’ambition fait accepter comme importantes les tâches les plus ordinaires.

Dans la course à la productivité, ce qui importe n’est pas de sélectionner les champions pour éliminer ceux qui n’ont pas les normes olympiques mais de faire en sorte que chacun entre dans la course et progresse par rapport à lui-même.

 

Dans cette perspective, il faut créer des liens transversaux solides entre les multiples niveaux de l’organisation, fédérer, dynamiser et  fidéliser ses équipes en les spécialisant, exploiter l’image pour l'identification au groupe.

 

 

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Vous savez là où vous êtes bon, à vous de créer les opportunités!

 

Hédy MECHERY - Consultant et formateur en immobilier. 06.85.14.72.01

 

 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 11:37

Le 08/05/2011

 

Ce que je redoutais est arrivé : l’ami Stéphane a rejoint le club très ouvert des cyniques "branchés" du PAV.

Pour fabriquer toujours un peu plus d’ "émerveillement télévisuel", il rameute niaisement le rire gras et moqueur de la bêtise ; une mode malsaine qui fabrique de la panique d’être soi-même, du rejet et de la culpabilité au nom d’une pseudo nécessité et d’un « bon goût » en forme d’impératif supérieur.

À faire le prétendu « bon goût » dans le dégoût des autres, il n’aime plus que détester. Fous rires,  propos idiots, petites humiliations ordinaires, il expose et affaiblit des candidats naïfs dans l’expression de leur vie quotidienne, là où "habitent" leurs valeurs, sans respect pour leur imaginaire et au nom d’une singerie sociale où l’on doit renoncer à être soi-même pour jouer à être un autre. Il confond la vie privée et l’ordre marchand auquel se soumettre.

Le monde « marchand » a trouvé un nouveau serviteur ; Un lieu bête et  violent où l’on dispense la moquerie en guise de culture. Un lieu où ne compte que la préparation sociale de notre devanture personnelle ;  Un lieu, d’une banalité grise, où l’on joue à devenir ce que l’on est censés être ; Un défilé de clowns, où de grotesques perruques blondes dansent autour de vous.

 

Mon cher Stéphane, l’opportunisme est une conduite de survie imaginaire. Ceux qui tiennent leur pouvoir du sourire et des grimaces qu’ils provoquent ou de la peur et des humiliations qu’ils infligent sont, eux aussi, en sursis.

Ceux qui passent leur temps à rire des autres parasitent la vraie vie et la gentillesse possible, alors, reprends-toi !

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 18:07

La bonne volonté ne suffit plus

S’il est incontestable que l’essor fantastique d’internet est pour notre profession une révolution à ne pas manquer ; il nous commande de dépasser très vite la technicité distraite et routinière d’un service ordinaire pour nous affirmer d’avantage dans notre fonction "d'interface professionnelle active" entre l'offre et la demande.

En effet, a demande du client, devenue plus exigeante, plus volatile et plus sourcilleuse d’indépendance, impose au professionnel de repenser son offre en fonction de l’utilité nouvelle désormais attendue par ses clients nouvelle génération, ce, d’autant que bon nombre des expertises dont nous nous prévalions jusqu’à ce jour leur sont désormais devenues accessibles sans notre concours. Il devient impératif de créer une nouvelle valeur ajoutée à notre service si nous voulons continuer à justifier de notre  utilité.

 

La nécessité de redéfinir la vraie nature de notre service

Le succès de toute entreprise repose sur sa capacité à définir, sans complaisances, ce qui est réellement utile à son client et à mettre en œuvre les réponses appropriées.

A qui suis-je utile ?

En quoi suis-je utile ?

Comment concevoir mon fonctionnement de manière à générer le niveau d’utilité requis ?

Or, être "utile", c’est  être en mesure d’offrir à son client quelque chose qu’il ne peut pas faire lui-même ou avec beaucoup de difficultés, de risques d’insuccès et de déceptions – quelque chose qui ait pour lui une valeur incontestable et manifeste dont l’indiscutable utilité en  légitimera l’attrait et…le prix.

Dans ce cadre de pensée exigeant, il doit rester entendu que tout ce qui imite ou se rapproche un tant soit peu de quelque chose qui existe déjà n’offre aucun intérêt.

 

Anticiper les besoins "latents" 

Là, où existe une frustration, il existe une opportunité commerciale.

L’accès à l’offre immobilière est devenu tellement complexe et rébarbatif qu’il s’exprime aujourd’hui un besoin naturel de retour vers la simplicité, vers ce qui se comprend vite et  facilement.

Plus l’offre immobilière est abondante, plus il s’avère indispensable d’en restreindre la complexité pour en faciliter l’exploration.

Cette nouvelle perspective impliquerait dorénavant que nous aidions notre client à trouver lui-même les produits dans nos vitrines, qu’il puisse reconnaitre avec rapidité, précision et facilité leurs caractéristiques, leurs prix et leurs affectations privilégiées.

Dans cette nouvelle optique, le concept de service que proposerait le professionnel consisterait à tout mettre en œuvre pour faciliter l’accès de son offre à son client, à dépasser l’effet "catalogue" pour lui fournir les informations suffisantes de manière à ce qu’il puisse réaliser lui-même facilement et rapidement sa recherche, pour qu’il puisse identifier immédiatement et globalement une offre "taillée sur mesure". Une offre qui lui ressemble, qui "parle" de lui et qui intègre ses valeurs et le mette en valeur.

 

Aujourd’hui, reconnaissons- le, en dehors des sélections issues des algorithmes habituels de nos logiciels professionnels peu  propices à identifier les éléments immatériels et imaginaires de la recherche de notre client, nous nous montrons encore insuffisamment aptes à  lui faciliter l’accès à une offre référencée avec intelligence sans qu’il soit obligé de se "goinfrer" des linéaires de produits médiocrement sélectionnés et présentés dans un brouhaha de messages inutiles.

La peur du changement, d’avoir à bouleverser nos habitudes, à rentrer dans de nouvelles logiques contraignantes, de commettre des erreurs, d’être critiqué ou rejeté par notre famille d’appartenance, la peur de nouvelles responsabilités liées à un haut niveau de performance, filtrent notre perception et notre reconnaissance de la demande et font obstacle à notre adaptation et à l’éclosion de solutions inédites.

 

Le principe de la "sélection intuitive" d’ORAKLIO :

Une manière  ludique, rapide et très efficace de naviguer.

Le principe de la "sélection intuitive" trouve sa place quand les méthodes de résolution dites "exactes" peuvent présenter un temps de résolution trop long et dans les recherches qui nécessitent l'exploration d'un grand nombre (Un nombre est un concept caractérisant une unité, une collection d'unités ou une fraction d'unité.) de cas, car elle permet de réduire leur complexité (La complexité est une notion utilisée en philosophie, épistémologie (par exemple par Anthony Wilden ou Edgar Morin), en physique, en biologie (par exemple par Henri Atlan), en sociologie, en informatique ou en sciences de l’information. La définition connaît des nuances importantes selon ces différents domaines.) moyenne (Il y a plusieurs façon de calculer une moyenne d'un ensemble de nombres. Celle qu'il convient de retenir dépend de la grandeur physique que représentent ces nombres. Lorsque, dans le langage courant, on parle de moyenne, on évoque en fait la moyenne...) en examinant d'abord les cas qui ont le plus de chances de donner la réponse  attendue.  Elle permet à son utilisateur en ligne de réduire la complexité d’explorer une offre abondante et diversifiée et d’accéder rapidement et sans intermédiaire à l’examen des solutions qui ont le plus de chances de donner la réponse attendue. C’est une stratégie de bon sens pour se déplacer soi-même intelligemment dans l’espace des solutions afin d’obtenir une réponse approchée, la meilleure possible, dans un délai de temps raisonnable.

 

Les préalables de la sélection intuitive :

1.       Les offres reflétant le "schéma de soi" de l’individu sont les plus persuasives.

2.       Une solution immobilière, pour être attractive, doit nécessairement synthétiser tout autant les éléments objectifs et concrets de l’offre que ses éléments subjectifs, imaginaires et immatériels. Il s'agit donc de souligner le fort degré de cohérence entre les caractéristiques fonctionnelles des produits proposés et l'ensemble de ses attributs symboliques, car la demande des clients porte davantage sur la réponse à un besoin que sur le produit lui-même, qui n'est que le moyen de répondre à cette attente.

3.       Entre la raison et l’intuition, la "sélection intuitive" d’ORAKLIO joue le jeu du juste milieu. L’idéal est en effet pour le consommateur de combiner les deux approches dans une "intuition outillée" à savoir, partir de ses intuitions et simultanément de les vérifier par un aller-retour constant entre l’intuition pure et les faits.

4.       Opter pour la "sélection intuitive", c’est  offrir à son client de renouer avec la perspective de "collaborer" à nouveau avec le professionnel sans avoir à se plier à ses procédures donc de perdre de sa liberté et de son autonomie, voire de se sentir utilisé ou pire, nié. Car le visiteur, une fois "étiqueté" comme CLIENT, est immédiatement dépouillé de son statut de personne existante, agissante et responsable, rabaissé au rang de quelqu'un qui n'est plus en possession de sa propre définition de lui-même,  placé sous contrainte, exclu de l'exercice de sa liberté en ce qui concerne les gens qu'il rencontre et ce qu'il doit faire. Son temps ne lui appartient plus et l'espace qu'il occupe n'est plus de son choix. Après avoir subi un cérémonial de rabaissement appelé « découverte-client », il est dépourvu de ses droits à la singularité et à l’autonomie en devenant prisonnier d’une institution totalitaire appelée "FICHIER". Plus complètement, plus radicalement que n'importe où dans notre société, il est invalidé en tant que personne humaine et dépouillé de son aventure, de son droit à l’incertitude et à l’erreur.

 

Défi et opportunité commerciale :

Un "trou" à exploiter dans la structure concurrentielle

Dans la jungle massive d'informations que représente l’offre immobilière, nos clients souhaitent qu'on leur débroussaille un minimum le chemin. Cela implique de structurer correctement l'information, de la hiérarchiser, de la replacer dans un contexte thématique, de créer des associations, de recourir au métalangage ou de mettre en relief les différentes familles de contenus, de souligner les caractéristiques objectives ou subjectives des produits, afin de suivre ou de provoquer éventuellement des changements dans les attentes des clients et de mieux exploiter les possibilités encore inenvisagées qu’offre son portefeuille. 

L’innovation de la "sélection intuitive"consiste à permettre à l’utilisateur en ligne de sélectionner, en quelques clics, les solutions immobilières les plus susceptibles d’ajouter un confort particulier à sa manière de vivre, à ses choix de vie et à ses orientations du moment, tout en respectant ses convictions, ses croyances et ses prérogatives identitaires. Ainsi, lorsque la raison et l’analyse peinent à fournir des décisions claires et non ambigües, le consommateur pourra-t-il également à recourir à des choix intuitifs.

Il appartient désormais au professionnel d’exploiter cette nouvelle orientation en favorisant tous les raccourcis susceptibles d’accélérer l’accès de son offre immobilière à son client en lui offrant des "angles d'attaque", des hameçons d'information qui puissent maintenir son attention et piloter sa recherche en respectant sa "sensibilité".

 

C’est toujours plus facile à expliquer avec un dessin !

La "sélection intuitive" est un outil informatique  qui, à la différence des algorithmes habituels de nos logiciels professionnels, tire son principe de l'expérience ou d'analogies, plutôt que d'une analyse mathématique (Un scientifique est une personne qui se consacre à l'étude d'une science ou des sciences et qui se consacre à l'étude d'un domaine avec la rigueur et les méthodes...) trop complexe car recensant un maximum d'éléments, et donc difficile, voire impossible à mener et exploiter.

La "sélection intuitive" constitue une aide supplémentaire offrant un "Pilotage intuitif " indispensable à une meilleure compréhension de l’offre ordinaire. La "sélection intuitive"est un moteur de recherche essentiel dans le processus de recherche ; sans lui, la quantité d’informations, sans cesse croissante, serait moins complètement exploitable car les nouvelles technologies de l’information n’augmentent pas la qualité de l’information.

Parce que notre formation disciplinaire, en nous apprenant à séparer les choses, nous a fait perdre l’aptitude à les relier et à penser les problèmes fondamentaux dans leur globalité, La "sélection intuitive" d’ORAKLIO offre une alternative créative et fortement différenciante à la recherche immobilière en ligne.

La "sélection intuitive" d’ORAKLIO est le "cerveau" capable de construire une synthèse des solutions les plus appropriées à une requête. Un tel système d’expertise parallèle compense la qualité défectueuse de la prise en compte des attentes immatérielles des utilisateurs et introduit la dimension émotionnelle dans l’acte d’achat.Il s’agit là d’une forme d’aide individualisée, d’une assistance personnelle qui humanise un outil informatique automatisé, habituellement désincarné et lointain. Cette recherche de convivialité et de proximité est d’autant moins négligeable que, faciliter la recherche en commun d’une solution, est beaucoup plus chargée d’implication et inductrice de lien social que nos messages d’autocélébration ordinaires.

  

Comment ça marche ? Un outil – Une méthode 

Les outils d’aide à la décision reposent sur des modèles mathématiques de plus en plus complexes. Cette complexité les rend peu ludiques et peu attractifs aux utilisateurs. La "sélection intuitive" d’ORAKLIO est totalement innovante, elle utilise l’image comme raccourci pour accéder aux grands enjeux liés à la recherche.

L’image est un langage. C’est un langage dont le pouvoir d’expression est élevé. En règle générale, il est plus facile et plus rapide de traduire ses idées en images que dans un langage descriptif.

À la différence du mental réfléchi, celui que nous utilisons habituellement, séquentiel, rationnel, qui exige des efforts conscients, la "sélection intuitive"  offre un pilotage intuitif qui travaille « en arrière-plan ». Associatif et implicite, chargé émotionnellement, il propose rapidement, sans efforts, un pilotage automatique vers ce qui compte vraiment pour son utilisateur.

Une grille en images, une sorte de cartographie psychologique offre à l’utilisateur d’accéder à un diagnostic intuitif de sa recherche et l’oriente vers les solutions les plus adéquates. Ces images agissent comme des raccourcis subliminaux conscients qui brûlent les étapes du questionnement traditionnel.

 

L’achat d’immobilier, présenté comme un acte ludique

Il existe chez la plupart des négociateurs une constante, porteuse d’incompréhensions et de nombreux échecs relationnels : Le souci de sa propre image. Il veut qu’on lui doive quelque chose. Cette attente inconsciente l’oblige à porter son attention plus sur ce qu’il pense devoir produire pour  se mettre en valeur et mettre son service en valeur qu’à mettre en valeur son interlocuteur, or,  seul, ce qui nous "met en valeur" a de l’importance.

Dans une société où chacun se veut unique et où le mécanisme d'auto-promotion est de plus en plus prisé (Reality-shows, Loft Story, Koh Lantha, Star Accademy), notre client a pris l'habitude d'être "personnellement interpellé" sur ses choix, ses goûts, ses orientations du moment. Il veut désormais être au centre de nos préoccupations.

Notre communication immobilière ne peut plus être austère et l’amusement constitue une incitation plus que suffisante à la participation du client au jeu de la sélection intuitive.

 

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